Le réseau étoffé des chemins de fer français permet aux touristes de découvrir les richesses de nos régions vantées par les affiches SNCF. Arrivé dans une des grandes gares parisiennes, gare du Nord ou de l’Est par exemple, le touriste est pris en charge de bout en bout de son voyage par les chemins de fer. Un service d’autocars SNCF assurant les liaisons inter-gares l’emmène ainsi de la gare du Nord à la gare d’Austerlitz. En gare de nombreux services sont à sa disposition en cas de nécessité : bureau de renseignements, de change, librairie ou restaurant. En voyageant de nuit en train couchettes, les touristes partent pour Biarritz sans la fatigue d’un long voyage, confortablement installés. Au matin, ils se réveillent en contemplant les vignobles bordelais qui défilent sous leurs yeux. Arrivés à Biarritz, les sujets de curiosité ne manquent pas, le Rocher de la Vierge, les plages de l’Atlantique, et les petites stations balnéaires de la côte comme Saint-Jean-de-Luz et Hendaye. Les cars de la SNCF permettent aux voyageurs curieux de découvrir l’intérieur des terres, les charmants villages basques comme Saint-Jean- Pied-de-Port, et l’Aubisque qui offre un des plus beaux panoramas de haute montagne, Lourdes, célèbre lieu de pèlerinage, et Pau. À Lourdes, notre touriste prend le train pour Narbonne. Sous ses yeux défilent de nouveaux paysages tout aussi admirables comme les murailles de Carcassonne, les vignobles et les oliviers du Languedoc-Roussillon. À Narbonne, l’autorail rapide, le Catalan, l’emmène à Avignon, en bénéficiant toujours du même confort et de repas gastronomiques. De nouveaux horizons s’offrent aux regards des voyageurs, la Camargue et ses taureaux, et Saintes-Maries-de-la-Mer. En gare d’Avignon, cité des Papes, les nouveaux trains auto-couchettes transportent en même temps les voyageurs et leur automobile. Le Mistral, train prestigieux qui roule à 150 km/h, conduit ses passagers jusqu’à Marseille. Puis il troque sa locomotive BB 9200 pour une locomotive à vapeur afin de poursuivre le voyage le long de la Côte d’Azur. À Cannes, le touriste prend un autorail dit Picasso pour Menton. Car, train autorail, quel que soit le mode de transport, les clients voyagent avec la même qualité de confort à la découverte des sites les plus admirables. Passé le rocher de Monaco, Menton, terminus du voyage. De retour à Nice, notre touriste profite du service Train plus Auto pour découvrir en toute indépendance les hauteurs de l’arrière-pays, de la route Napoléon jusqu’aux gorges du Verdon. Après ce périple en Provence, c’est le temps du retour par autorail des Chemins de fer de Provence jusqu’à Digne. Là, notre touriste profite jusqu’à Grenoble de l’autorail panoramique conçu pour la satisfaction du voyageur spectateur et son bien- être : larges baies vitrées ouverte sur le paysage, climatisation individuelle. À Grenoble, le car SNCF l’emmène jusqu’à la gare de Chamonix. Le train de Chamonix le conduit jusqu’à Vallorcine, avec toujours en vue le majestueux Mont Blanc. C’est depuis Saint-Gervais-Le-Fayet que le touriste prend le train du retour vers Paris, en jetant un dernier regard sur les sites merveilleux qu’il quitte, comme le lac du Bourget. La voiture restaurant est un endroit propice aux rencontres pour échanger ses impressions de voyage. Arrivé à Paris gare de Lyon, une halte au relais toilettes lui permet de se rafraîchir : coupe de cheveux, chaussures cirées, le touriste peut repartir vers d’autres découvertes notamment à Paris.

SARDO MEDIATHEQUE SNCF

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